Ce blog a été écrit par Lucinda Johnston, Rick Mast et Heather Ritz
La Journée internationale du bonheur
reconnaît que le bonheur est un objectif humain fondamental et nous rappelle que nous pouvons participer activement à notre propre bien-être et à celui des autres en nous engageant dans des pratiques qui cultivent le bonheur.
La Journée du bonheur est célébrée chaque année le 20 mars, une période de l’année où le bonheur peut sembler une notion lointaine ou peut trop facilement être perçue comme une positivité toxique. Cependant, malgré les exigences, les délais et la pression que beaucoup d’entre nous peuvent ressentir à cette période de l’année, nous pouvons favoriser le bonheur de manière significative et durable.
Bien que nous le sachions quand nous le ressentons, le bonheur est difficile à définir. Le bonheur est un état émotionnel positif, mais l’expérience de chaque individu de cet état émotionnel positif est subjective. Quand et pourquoi on éprouve du bonheur peut être le résultat de plusieurs facteurs travaillant ensemble, y compris la culture, les valeurs et les traits de personnalité.
En psychologie,
il existe deux conceptions populaires du bonheur : hédonistique et eudémonisme. Le bonheur hédonistique est atteint par des expériences de plaisir et de jouissance, tandis que eudémonisme est atteint par des expériences avec du sens et un but. Les deux types de bonheur sont atteints et contribuent au bien-être général de différentes manières.
La poésie, sous toutes ses formes – chants, ballades, odes, couplets, quatrains, haïku, prière… écrite, parlée, mise en musique – a longtemps été parmi les modes d’expression par excellence pour traduire l’expérience individuelle et collective. Le comité des Journées d’action pour la Journée internationale du bonheur, en partenariat avec la bibliothèque de l’université de l’Alberta, VOUS invite à contribuer un poème qui explore votre expérience du bonheur et ce que cela signifie pour vous.
La collection de poésie liée à l’expérience du bonheur
comprendra jusqu’à 20 œuvres originales de membres de la communauté de l’Université de l’Alberta et sera partagée sous divers formats de publication :
- récitations enregistrées,
- imprimées sous forme de livre pour distribution générale,
- imprimées et affichées sous forme de poèmes individuels. sur tous les campus.
Nous voulons que la collection de poèmes reflète la diversité de la pensée, de la voix et de l’expérience. Ainsi, la sélection individuelle des poèmes considérera le projet dans son ensemble. Les étudiants, les professeurs, le personnel et les anciens de l’Université de l’Alberta sont tous invités à soumettre des poèmes dans n’importe quelle langue; vous n’avez pas besoin d’être un poète établi ou publié.
Votre contribution
n’a pas besoin d’être un travail nouveau ou en cours. Cependant, si vous choisissez d’écrire quelque chose pour ce projet, voici quelques suggestions pour vous aider à démarrer :
- Explorez la différence entre le bonheur hédonique et eudémonique , comment avez-vous vécu l’un ou les deux ?
- Pratiquez une méditation sur l’amour bienveillant, comme celle-ci, et écrivez en réponse à votre expérience.
- Faites une activité que vous aimez et faites attention à la façon dont le plaisir se manifeste dans vos pensées, votre corps, votre discours intérieur ou vos relations.
- Exprimez votre gratitude à quelqu’un dans votre vie qui fait quelque chose qui passe généralement inaperçu.
- Lisez l’un de ces poèmes pour vous inspirer.
Un exemple d’une expression de bonheur que nous aimerions recevoir de vous, gracieuseté de Joe Dassin, Et si tu n’existais pas de l’album le costume noir de 1976 :
Et si tu n’existais pas
Dis-moi pourquoi j’existerais?
Pour traîner dans un monde sans toi
Sans espoir et sans regrets
Et si tu n’existais pas
J’essaierais d’inventer l’amour
Comme un peintre qui voit sous ses doigts
Naître les couleurs du jour
Et qui n’en revient pas
Et si tu n’existais pas
Dis-moi pour qui j’existerais?
Des passantes endormies dans mes bras
Que je n’aimerai jamais
Et si tu n’existais pas
Je ne serais qu’un point de plus
Dans ce monde qui vient et qui va
Je me sentirais perdu
J’aurais besoin de toi
Et si tu n’existais pas
Dis-moi comment j’existerais?
Je pourrais faire semblant d’être moi
Mais je ne serais pas vrai
Et si tu n’existais pas
Je crois que je l’aurais trouvé
Le secret de la vie, le pourquoi
Simplement pour te créer
Et pour te regarder
Et si tu n’existais pas
Dis-moi pourquoi j’existerais?
Pour traîner dans un monde sans toi
Sans espoir et sans regrets
Et si tu n’existais pas
J’essaierais d’inventer l’amour
Comme un peintre qui voit sous ses doigts
Naître les couleurs du jour
Consultez notre site web de la Journée internationale du bonheur pour plus d’informations sur le projet de poésie du bonheur 2023 et pour les critères de sélection. Cliquez ici pour soumettre un poème. Date limite midi, le 20 janvier 2023
Cet article a été traduit par Alèthe Kaboré, l’original en anglais se trouve ici .