Puisque la majorité des étudiants et du personnel ont été conseillés de travailler et d’étudier depuis leur domicile, c’est ainsi que nos bibliothécaires soutient l’apprentissage en ligne…
Le jour de son retour en Alberta, tout le monde a commencé à travailler de la maison.
Anne Carr-Wiggin s’est mise en quarantaine pendant plus de deux semaines et a tout fait livrer à sa porte. Quelques collègues lui ont même apporté de délicieuses soupes! Anne a grandi près de la ville de la peste de Eyam, en Angleterre, où en 1665 les villageois ont gardé la peste noire à l’intérieur du village en s’isolant et en ayant leur provisions livrée à l’extérieur des bordures du village.
“Mon expérience ressemblait à cela!”
Anne gère le Consortium des libraries de NEOS et coordonne les initiatives autochtones ici à la bibliothèque de l’Université de l’Alberta. Ses collègues de NEOS sont situés un peu partout à travers l’Alberta, ils sont donc habitués aux réunions à distance. Au début du confinement, NEOS était en train d’adapter les politiques et les services, y compris les dates d’échéance et les amendes dans l’ensemble du consortium. Avec chaque bibliothèque déplaçant ses services en ligne, ils ont découvert le rôle important qu’ils jouaient au sein de leur institutions respectives et la capacité de servir leurs utilisateurs alors que les collections physiques étaient inaccessible. Les bibliothèques des services de santé de l’Alberta et de Covenant Health jouent un rôle particulièrement crucial durant la pandémie. Leur personnel travaille à la maison avec des délais extrêmement serrés, effectuant des recherches documentaires sur la recherche médicale émergente pour soutenir le travail des groupes consultatifs scientifiques qui fournissent des informations à l’équipe du Dr Deena Hinshaw et aux équipes médicales de la province. Alors que les bibliothèques se concentrent sur le rétablissement de l’accès aux collections imprimées dans les semaines à venir, les équipes de NEOS partagent des informations sur le contrôle des infections et la mise en quarantaine des livres, ainsi que sur les moyens de partager les collections physiques même avec l’accès aux bibliothèques toujours limité. Notre service de collecte extérieur a commencé…
A de la bibliothèque, Anne est connue pour son travail acharné dans la coordination de notre programme d’initiatives aux autochtones. C’est si profondément dépendant sur les relations… et Covid a forcé de nombreux changements! Les étudiants, ses amis et collègues de la Faculté des études autochtones lui manquent. Elle, en collaboration avec nos stagiaires autochtones et nos résidents bibliothécaires, offrent de l’aide par le biais de sessions vidéo et a gardent le contact avec les étudiants par courriel électronique, médias sociaux et textes. Ils étaient particulièrement demandés à la fin du semestre dernier lorsque les articles étaient dus et que des sources électroniques étaient nécessaires. Mais ce n’est pas pareil! Bien qu’il existe de nombreuses merveilleuses sources électroniques pour les études autochtones, le manque d’accès à la collection circumpolaire de la bibliothèque Cameron a été vivement ressenti. Sur une note positive, les études autochtones sont un domaine où les ressources audio et visuelles sont très importantes, et ces ressources deviennent de plus en plus disponibles grâce aux initiatives de numérisation. Une des ressources particulièrement utile est iPortal. Il existe également des idées pour trouver des sources de d’information autochtones et d’autres ressources primaires à la bibliothèque sur guide thématique des connaissances autochtones. Et comme toujours, les étudiants peuvent prendre un rendez vous virtuel — Anne sera heureuse de discuter!
Avez-vous besoin des retours d’information ou de soutien avec vos travaux de classe ? Chattez avec nous ou prenez un rendez-vous virtuel avec un bibliothécaire !
Texte traduit par Alèthe K.